... dans les Budo
Hans Bakker dans son propre kata de Bo sous l'oeil de Jan Kallenbach
Dès 1967, alors qu'il était parti s'entraîner au dojo de Maître Oyama, Jan Kallenbach rencontre un conseiller technique de l'école Kyokushin, un japonais du nom de Kenichi Sawai.
Cet homme hors du commun a pratiqué le kendo, le iaido, le judo et une forme chinoise de boxe appelée aujourd'hui Yi Chuan, la boxe de l'intention. De retour au Japon après la guerre, avec l'autorisation de son maître chinois Wang Xiang Zhai, il crée le Tai Ki Ken, le plus chinois des Budo japonais.
Jan Kallenbach s'entraîne sous la direction de K. Sawai, et quelques années plus tard, il abandonne la pratique du karaté pour se consacrer exclusivement au Tai Ki Ken.
Julien Porterie (ACBB) - Entraînement au Jo
Kallenbach sensei exprime une volonté affirmée de privilégier la qualité à la quantité. Aussi, ne peut-on participer au Gasshuku international de Tai Ki Ken que sur invitation. L'enseignement, basé sur des principes et de nombreuses mises en situation y est direct.
Pratique de Ritsuzen au lever du jour
J'ai eu l'occasion de rencontrer Jan Kallenbach à diverses occasions. Il est venu, accompagné de Hans Bakker, par deux fois à Romorantin.
Le Tai Ki Ken est enseigné en France par Jean Luc Lesueur (renshi) à Orgeval, Jacques Legré (renshi) et plusieurs de ses élèves à Boulogne Billancourt (ACBB), Alain Stoll (renshi), Laurent Rouzeau (renshi) à Marseille...
Un article sur ce séminaire accompagné d'une interview de Kallenbach sensei paraîtra dans le numéro 28 du magazine Energie.
Hans vs Hans !
Muriel, la seule féminine du Gasshuku